La semaine dernière sur le site internet britannique nommé divorce-online.co.uk, un pic a atteint concernant le nombre de couples désirant entamer une procédure de divorce. Cela arrive donc juste après le temps des festivités et pour certains spécialistes du divorce, cela n’est pas si surprenant puisque le Royaume-Uni possède un des plus hauts taux de divorces avec 12 divorces sur 1000 mariages. Sans vouloir être pessimiste, le site prévoit aussi une augmentation de 2 % dûe aux tensions et inquiétudes reliées à la récession économique.
Non seulement on peut blâmer la récession, car celle-ci ruine des couples, mais elle est aussi à blâmer pour une autre raison. Certains couples voudraient bien prendre des chemins différents et divorcer, mais ces derniers sont forcés à continuer à vivre ensemble. Selon une recherche publiée plus tôt cette semaine par l’organisme de charité Shelter, plus d’un quart des gens affirment connaître ou avoir connu une personne qui voulait divorcer, mais qui s’est vue obligée de rester avec son partenaire car elle ne pouvait pas se permettre de vivre seule faute de moyens financiers.
Pour appuyer cette étude, le site de collocation easyroommate.co.uk a également réalisé un sondage et ce dernier a démontré que 28 % des couples qui ont décidé de se séparer n’ont pas eu d’autres choix que de rester et continuer à vivre ensemble. De plus, il n’est pas surprenant d’apprendre que parmi les couples qui ont pris la décision de cohabiter ensemble, plus du trois quart des personnes ont trouvé ou trouvent cette expérience stressante.
Lorsque les couples se séparent et que les partenaires commencent à rechercher un logement, c’est souvent le loyer de ce dernier qui fait réfléchir les nouveaux célibataires et leur font prendre la décision de cohabiter. Selon l’étude, presque une personne sur six a déclaré que les préoccupations financières concernant leur maison avait conduit à plusieurs discussions avec leur partenaire ou membre de la famille.
Plus d’infos : Independant.co.uk
