Le 08 août 2016 a été marqué par la célébration de la journée mondiale du chat. Pour la célébrer, Facebook a effectué une analyse des caractéristiques sociales des propriétaires de chats et de chiens. Les résultats obtenus sont quelque peu surprenants.
Les propriétaires de chats ont une tendance globale à rester entre eux
Le premier critère de l’analyse faite par Facebook s’est basé sur le nombre d’amis sur ce réseau social. Ainsi, il a été découvert que les propriétaires de chiens possèdent en moyenne 26 contacts de plus par rapport aux propriétaires de chats. D’une manière générale, les premiers sont plus à l’aise pour créer des liens en ligne, tandis que les seconds sont plus souvent invités à des soirées. Il a également été constaté que les deux parties affectionnent plus de fréquenter les autres propriétaires d’animaux de compagnie plutôt que ceux qui n’en ont pas. D’ailleurs sur ce point, les propriétaires de chats ont deux fois plus de chance de se lier d’amitié entre eux. Les propriétaires de chiens quant à eux ont 1,8 fois plus de chance d’entrer en relation avec d’autres propriétaires de chiens.
Les propriétaires de chats auraient une tendance casanière
En se penchant sur la vie amoureuse de ces 2 catégories, il a été découvert qu’un plus grand nombre de célibataires possède des chats, soit 30 %, contre 24 % pour les propriétaires de chiens. Par ailleurs, les propriétaires de chats sont beaucoup plus attirés par les activités casanières comme lire, regarder la télévision ou regarder des films. D’ailleurs, en matière de goût cinématographique, à part quelques goûts communs, les propriétaires de chats sont plus férus de fantaisie, de sciences-fiction ou même de dessins animés, tandis que les propriétaires de chiens sont plutôt tournés vers les histoires d’amour. Il faut toutefois souligner que cette analyse n’est en aucun cas représentative, car elle se base essentiellement sur les publications et les partages effectués sur ce réseau social. D’ailleurs, l’échantillon de 160.000 utilisateurs ne représente qu’une infime partie des utilisateurs de Facebook. Dans la réalité, la tendance est peut-être inversée, qui sait.